ESA St-Luc Bruxelles

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10 mai 2017
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 Comment la scénographie d’exposition peut aider à sensibiliser les publics sur des problématiques contemporaines dans un musée de société ? Le cas du Mucem

Mémoire de master en architecture d’intérieur, finalité Espaces scénographiques, soutenu le 25 janvier 2018 par Kim Cappart et publié dans Culture & Musées.

L’objectif général de ce mémoire est de comprendre comment les musées de société peuvent devenir acteurs de changements au sein de la société en ce début de XXIe siècle. Aujourd’hui, la construction de messages est devenue l’essence même des missions des musées de société. Les nouveaux enjeux d’ordre sociopolitique des expositions et la remise en question de la place de la collection (Drouguet, 2015 : 106) ont engendré une évolution marquante des pratiques muséales. D’abord, de nouvelles thématiques d’exposition émergent avec l’apparition des écomusées. Des acteurs engagés de la nouvelle muséologie, tels que Georges-Henri Rivière et Jacques Hainard, initient un changement de stratégie pour donner la priorité à la présentation d’une idée sur la présentation de l’objet. Ensuite, l’apparition des expositions temporaires thématiques favorise l’expression de sujets sensibles et permet l’expérimentation de mises en scène inédites. Entendons par sujet sensible toute réalité qui altère ou qui risque d’altérer la prospérité de la société et/ou la santé de l’environnement.

 Une pomme parce c’est doux

"Les relations entre la Belgique et l’Afghanistan sont douces comme la pomme". L’inscription, traduite du pachto, apparaît d’abord sur un dessin de Samsor, une jeune-homme d’orgine afghane exilé en Belgique. Il a écrit ces mots sous deux pommes qu’il a peintes aux couleurs des deux pays qu’il cite. Les deux pommes-drapeaux se font vis-à-vis, comme si elles se saluaient. Cette image surréaliste, qui donne son titre à la présente publication, a vu le jour dans le cadre d’un atelier de création réunissant des résidents d’un centre d’hébergement du Samu social et des étudiants de l’ESA Saint-Luc.

 Revue Art, enseignement et médiation

Les notions de « projet », de « démarche » et de « recherche » sont souvent utilisées par les artistes lorsqu’il est question de leurs parcours et de leurs oeuvres. Elles font partie intégrante du champ sémantique qui définit les contours incertains des discours de l’art, y compris lorsqu’il s’agit d’enseignement, de pédagogie, de didactique ou de médiation. La « pédagogie par projet » entretient avec la création artistique une relation étroite, pour ne pas dire essentielle, avant que celle-ci ne soit généralisée à d’autres disciplines. En effet, si l’exercice cadré et reproductible est en soi porteur d’apprentissages, si sa conception relève d’une forme partielle de maitrise, l’élaboration des conditions propices à l’expérience de la création est une tâche chaque fois située, sans garantie de réussite et dont il est souvent difficile de rendre compte.
Il est courant d’entendre parler du projet artistique d’un élève ou d’un étudiant ; de même qu’il est courant de l’interpeller sur sa démarche qui singularise la pratique d’une discipline artistique. Indissociable l’un de l’autre, le projet et la démarche de l’artiste renvoient pourtant à des temporalités et à des réalités différentes. Si le projet s’énonce dans la visée d’une réalité à faire advenir, la démarche s’éprouve au présent et le parcours effectué toujours dans l’après-coup.
Depuis plusieurs années pourtant, la notion de « démarche » tend à faire place à celle de « recherche », terme aux accents institutionnels et scientifiques plus forts. S’agit-il de revendiquer une plus grande maitrise des procédures et des méthodes et d’intégrer la démarche artistique dans un champ plus large de savoirs par rapport auxquels elle peut se situer ?
Nous proposons d’envisager ici la triade projet/démarche/recherche comme une hypothèse de travail pour explorer et analyser les dispositifs et les méthodes expérimentés dans l’enseignement des arts et dans le domaine de la médiation. Comment amener les élèves ou les étudiants à développer un projet et comment en rendre compte ? Comment favoriser la construction d’une démarche artistique et lui donner une forme d’intelligibilité et de visibilité ? Comment accompagner l’élaboration d’une recherche en art ? Comment distinguer ces différents seuils d’approfondissement de la création ? Telles sont les questions que nous avons voulu aborder dans ce numéro.

Contributeurs : ESA Saint-Luc, erg et ARBA

 10 ans de workshop bilingue en création d’intérieurs

Il y eut une première approche de Raf Van Den Storm alors professeur et coordinateur à Sint-Lucas Gand : une invitation aux Portes Ouvertes en juin 2002, histoire de faire connaissance, de découvrir une production d’atelier proche de l’option Création d’intérieurs de l’ESA Saint-Luc Bruxelles. Puis, l’occasion de travailler ensemble s’est présentée avec l’ouverture sur un vrai programme : le Fonds Prince Philippe soutenait — et soutient toujours — en les finançant les projets partagés par des groupes d’étudiants flamands, francophones, germanophones. Dès lors, pourquoi ne pas franchir le pas dans
l’idée de mettre à mal préjugés et clichés ? Et, par chance, Simonne Walravens et Stéphane Zeegers, professeurs de l’option à Bruxelles, maitrisaient le néerlandais. La conjoncture était donc favorable.
Cette publication reprend les 10 ans de collaboration entre les options Création d’intérieurs de l’ESA Saint-Luc et Interieurvormgeving de Sint-Lucas Gand (devenue LUCA - School of art). Patiemment, discrètement, l’objectif de sympathie et de partage entre ces deux jeunesses linguistiquement différentes était atteint. Quand certains élèvent des murs, d’autres tissent des liens.

 Bride abattue et bouche goulue

Retranscrire graphiquement la pensée Bul, baignée de mots rares et imagés, aurait pu être appréhendé comme une tâche périlleuse voire impossible. Et pourtant, l’exposition présentée par nos étudiants à la Galerie 100 Titres fut emprunte d’humour et de poésie, digne de ceux qui firent sa prose et apporta un bel écho aux textes dont ils s’inspirèrent.
Vraie plongée dans le monde de l’animalité, chaque installation, sans calquer les textes estampillés Daily Bul, plaça chaque mot, chaque bruissement de phrases dans une perspective nouvelle.
En effet, le but était de figurer ces textes « oulipiens », résultats sonores et phénoménologiques de stimulations, en leur apportant rondeur et matérialité.
Cette exposition fut aussi l’occasion de redécouvrir ces textes prodigieusement fantasmagoriques, servis par des auteurs dont le seul nom suffit à susciter l’émerveillement. Avec Balthazar, Bragard et Pachès, nous voilà assurés de trouver du nerf et de l’humeur dans les mots.
Chaque projet se révéla l’expression d’un devenir-animal. Plus que la bête qui nous hante, le questionnement porta d’abord sur l’animalité. Celui que nous posons en nous mettant dans la position de l’animal, évocation d’un monde, à l’opposé de l’humain qui trop souvent vit la vie de tout le monde, hors de lui.
Plus encore, c’est l’art qui fut convoqué dans l’émergence de ces territoires. Explicite dans la plupart des travaux, chaque dimension de l’art fut explorée.
Quel bonheur de voir tous ces mondes et de goûter ces univers singuliers.
Quel plaisir d’entendre les explications inspirées, formulées avec malice par nos étudiants et derrière lesquelles nous trouvâmes l’homme, construisant à intervalles réguliers son rapport au monde.

  Le seuil-Threshold

Le seuil a été le thème choisi pour cette première expérience de collaboration avec l’Université Sun II de Naples. Les étudiants furent amenés à réfléchir sur la frontière entre intérieur et extérieur. L’inspiration se concentra essentiellement sur le concept de « finestra arredata » formulé par Giò Ponti.
Dans le contexte contemporain du projet, le seuil a été pensé d’une façon originale, en ajoutant de nouvelles performances à son rôle traditionnel : châssis du paysage, espace-filtre de propriétés thermo physiques, volume pour habiter ou espace tridimensionnel à l’image des propositions de Umberto Riva et Ettore Sottsass.
L’espace urbain sur lequel les étudiants intervinrent fut le district industriel de Bagnoli, premier quartier moderniste de Naples, actuellement en cours de rénovation urbaine.

 Du Dessin au dessein

Actes d’un colloque organisé dans le cadre du centenaire des Instituts Saint-Luc organisé à Bozar sur le thème du dessin. Le dessin y fut évoqué en tant qu’instrument et capteur du réel, actualisation d’une potentialité ou d’une latence, mais encore en tant que projet, expression visible d’une idée, d’une représentation mentale où sont convoqués le langage, le corps, l’espace et le temps. Le dessin fut encore envisagé en tant qu’écriture vectorisant l’espace de la feuille, de la toile, du lieu d’où l’on écrit. Et puis il y eut l’irrépressible plaisir du trait, le vibrato de l’émotion, la légèreté d’horizons insoupçonnés et tant d’autres signes à venir.

Participants au colloque, : Michel Assenmaker, Eric Clémens, Pascal Convert, Patricia Falguières, Henri Gaudin, Jacqueline Lichtenstein, Marc Streker et Harald Szeemann.

 10 exposant 2

Catalogue de 100 ans de dessin à Saint-Luc. Dix années X dix années de traits en tous genres et en tous sens. Au fil de cent oeuvres, au fil de cent ans : le dessin tel que pratiqué à Saint-Luc Bruxelles.

 Illustory

40 ans de l’option Illustration

De cette odyssée de quarante ans ont émergé, au fil des tempêtes et autres débats contradictoires, des oeuvres non formatées, reflétant bien la diversité des sensibilités. Si d’aucuns ont choisi la légèreté et la couleur, d’autres s’expriment dans des voies plus radicales et complexes, offrant à qui les découvre quelques fils à tirer pour atteindre la compréhension de leur être profond.

 Il était une fois

... un maître sorcier qui se donnait l’apparence d’une fille. Il avait des tatouages et ma mère sur le dos.
C’est le titre d’un album réalisé dans le cadre des quarante ans de l’atelier Illustration.
Les étudiants actuels et récemment diplômés ont imaginé une narration graphique en s’appropriant le conte ’"L’Oiseau d’Ourdi" des Frères Grimm, mieux connu sous le nom de "La Barbe bleue". Chacun a pu ainsi évoluer autour de ce conte contenant nombre de thématiques intemporelles, fascinantes et questionnantes. L’articulation de tous ces récits trace les chemins d’un labyrinthe construit de variations multiples. Chacune est singulière dans sa manière d’aborder l’image et la poétique narrative, chacune pose les jalons d’une personnalité d’auteur en devenir. Nous espérons que vous vous y perdrez avec autant de bonheur que d’effroi.

 2048 ou quarante ans de bande dessinée à Saint-Luc

On voudrait nous faire croire que le bel atelier de bande dessinée existerait depuis 1968 ? Aurions-nous donc été actifs plus longtemps que Mozart ou Schubert, plus coriaces que Van Gogh, au même score que John Lennon, mais moins durables que Jeanne Calmant ? Et tout cela au sein de la très respectable Ecole supérieure des Arts saint-Luc, établie à Bruxelles depuis plus d’un siècle ? C’est à peine croyable...
Pourtant la rumeur est là, persistante, insinuante, ruisselante, rumeurante, quoi : 40 ans, 40 ans, 40 ans.... Il doit bien y avoir une explication, une astuce, un bigntz.
Ca y est, c’est clair : c’est le coup de faille spatio-temporelle, c’est sans appel ! Vous savez, c’est comme dans la bonne vieille science-fiction : on dit "chérie, passe-moi la moutarde s’il te plaît", on se retourne une seconde, puis on se retrouve barbu et chenu face à une créature tentaculaire qui nous passe la durée de broukgnotz à mutation lente (la verte, celle qui ne pique pas).
Et bien, cette faille nous allons nous précipiter dedans ! Pour ce faire, nous avons demandé à nos jeunes auteurs de se projeter dans le futur - facile, avec cette faille - et d’imaginer comment ils seront ou comment sera le monde le 30 octobre 2048 à 10h30, heure de Bruxelles.
Le résultat est tour à tour intimiste, burlesque, poétique, sentimental, polémique, surréaliste... et parfois futuriste, mais ce n’est pas la règle. Le pessimisme côtoiera un optimisme plus inattendu. Puisque toutes ces histoires courtes ont Bruxelles pour cadre.
Graphisme et techniques seront joyeusement diversifiés. Enfin, à vous de voir....

 Workshop Godin

Le projet était simple et surprenant à la fois. Simple parce qu’il fallait imaginer un événement sous des formes multiples : manifeste, spectacle, exposition, installation performance, requalification, relevé patrimonial… sur le terrain des anciennes poëleries Godin à Laeken et plus spécifiquement de son familistère. Le but étant de valoriser cet ensemble patrimonial incomparable et d’attirer l’attention du public et des pouvoirs politiques sur le contexte actuel de sa restructuration.
Surprenant parce qu’il faisait appel à une approche médiatique que nos étudiants sont peu coutumiers à traiter. La visite du site eut lieu le premier jour sous la conduite passionnée et éclairée de Guido Verhulst, un des principaux artisans de la sauvegarde du patrimoine industriel bruxellois. Ses commentaires furent bien nécessaires pour retrouver les traces des anciennes poëleries et surtout la configuration du familistère classé récemment par la Commission des Monuments et Sites.
Même si des divergences de point de vue ou de références apparurent très vite, l’exercice n’en demeura pas moins bénéfique pour les étudiants. En effet, en se frottant à la culture et aux méthodes de travail de l’autre école, les étudiants des deux institutions apprirent à débattre, à accepter la contradiction, à gérer des conflits d’idées en tirant profit des avis contraires tout en défendant âprement le leur.
Les résultats furent épatants. Même si certains projets furent plus convaincants et sans doute plus pertinents que d’autres, on peut affirmer que chaque proposition fut digne d’être défendue. Utilisation de réseaux sociaux, containerisation, architecture nomade, circuit interactif, exercice in situ, affectation précaire, manifestation culturelle, installation sonore, valorisation des anciennes poëleries… tout un arsenal de partis et de démarches repris in extenso dans ce cahier, qui rendit compte de la diversité des postures envisagées et du foisonnement d’idées que cette semaine suscita.

 La Tourette

Ce livre fait état des résultats d’un atelier international né d’une double volonté : réunir des étudiants français et étrangers sur un même projet et proposer le couvent de La Tourette comme sujet d’étude.
Le temps d’une semaine, du 18 au 22 février 2008, le centre culturel de La Tourette, la communauté des frères dominicains résidente, l’Ecole supérieure d’architecture intérieure de Lyon et l’Ecole supérieure des Arts Saint-Luc de Bruxelles se sont retrouvés, chacun dans un rôle spécifique : maîtres d’ouvrage, d’usage et d’oeuvre. L’atelier a réuni cinquante-six étudiants regroupés en onze équipes. Les projets ont porté sur les espaces tels que la porterie, le bureau d’accueil, la salle des hôtes, la crypte sud, le balcon, l’office et le réfectoire, les chambres ouest, les bureaux est et les cours intérieures.

 Regards sur Beaucaire

Dans « regards sur Beaucaire », six jeunes illustratrices de Saint-Luc (Anne Samain, Christine Kardacz, Elodie Lenaerts, Marie de Salle, Théodora Ramaeckers et Julie Godefroid) ont fixé des images de la ville et de son paysage, à leur manière, sensible et imaginative.
Le jeu du soleil sur la pierre, la variété des couleurs et l’omniprésence de l’eau les ont impressionnées et leur ont permis de nous transmettre ces interprétations.

 Instabilités

Ce livre rassemble les conférences données lors de la rencontre "Instabilités" qui eut lieu le 22 mars 2001. S’y ajoutent des documents relatifs à l’exposition qui en était le versant visuel et immédiat. Une suite lui fut donnée un an plus tard, à l’invitation de la librairie Quartiers Latins de Bruxelles ; deux interventions d’artistes et deux entretiens furent le contenu, d’après instabilités, de l’exposition tout juste instable.
Les textes concernent de près ce moment de bascule qui met en jeu l’ensemble d’un faire. Que ce soit dans le champ de l’écriture, de l’architecture, des arts plastiques ou de la danse. Ce moment de bascule serait peut-être également une manière autre de poser la question du sujet. De lui donner statut à partir d’une faille, et non à partir d’une assurance tous risques que le capistalisme avancé veut nous imposer coûte que coûte.

Sommaire :
 Une divagation sommaire autour de la relation texte/Image chez Duras, Richter, Warburg, Michel Assenmaker
 Architecture, stabilité et instabilité, Roland Matthu
 L’organisation du chaos, Jean Cumps
 Sur une photographie dans un poème de Guillaume Appolinaire, Eric Brunier
 La fureur d’éternuement, Alain Vanderhofstadt
 Capoeira Angola ou l’incarnation de la mandinga, Arnaud Halloy
 Le milieu de la vie, Yves Depelsenaire

 Art et architecture

Actes de conférences sur les interactions d’espace et de statut revendiqués à la fois par les architectes et les artistes.

L’architecture adopte depuis quelque temps des démarches spécifiques aux arts plastiques allant jusqu’à revendiquer des statuts identiques. Face à cette territorialité aux frontières floues, on cherche, de part et d’autre, le contact, on s’aventure sur les mêmes terrains, on partage les mêmes expériences concrètes. Dans ce nouveau champ concomitant, l’architecture revendique sa propre voie, une autonomie de décisions esthétiques, au-delà du respect des lieux et des fonctions et l’architecte, à l’image de l’artiste, devient jaloux de son identité et de sa signature, cherchant avant tout à se différencier de tout ce qui fait modèle. Parallèlement, l’art devient de plus en plus sensible aux édifices, villes et territoires qui l’accueillent. Il pose de manière incessante la question de l’espace telle que se le pose l’architecture, stimulant certains artistes à travailler à partir de fragments du construit et de l’habité.

Sommaire :
 Avant-propos, Roland Matthu
 Art et architecture, François Chaslin
 Principes d’orbanisme, Luc Deleu
 Mona dans l’espace, Pascal Convert
 La voie suisse, Georges Descombes
 Architecture lectures en marge du projet, Marc Streker
 Art et architecture, Tristan Ledoux

 Regards croisés

Regards sur le nouveau musée Guggenheim de Bilbao

Cette publication réunit les actes d’un colloque mené par quelques professeurs issus des différents Instituts de Saint-Luc de Bruxelles.
En 1997, le Musée Guggenheim de Bilbao ouvrait ses portes de manière sonnante et tonitruante. Relayée largement par les médias, cette institution dans laquelle les plus fols espoirs furent fondés aurait dû aider une ville ainsi qu’une région rudement touchée par la crise à relever la tête.
Dès son ouverture, ce musée à l’architecture spectaculaire et la mission que le Directoire du Guggenheim New York up-town lui confia suscitèrent une série de questions liées aux objectifs poursuivis par les initiateurs du projet, au rapport entre les espaces d’exposition et les oeuvres, à la place de l’art et aux retombées de la culture dans l’activité économique ainsi qu’à l’intégration du projet de Frank O. Gehry dans le tissu urbanistique de Bilbao.



PrintLab : informations et réservations

Le M-11 PrintLab est un atelier d’auto-édition destiné à tous les étudiant.e.s et professeur.e.s de l’école. Il s’agit d’une structure d’auto-production donnant accès à différents modes d’impression et de façonnage. Il ne s’agit donc pas d’un prestataire auquel serait confié un travail d’impression mais bien d’un laboratoire de fabrication où chacun.e est amené.e à imprimer par ses propres moyens ses créations, en expérimentant les possibilités et les caractéristiques de chaque mode (...)

Récupérathèque

Crée à l’initiative d’une étudiante en 2019, la Caverne d’Ali Baba est un magasin de récupération de matériaux d’art. Elle fait partie du réseau de la FDR : la fédération des récupérathèques. A la CAB, on promeut des valeurs d’écologie et de solidarité. On revalorise du matériel de seconde main, en le rendant accessible à tout le monde ! Comment ça marche ? La CAB est gérée de manière autonome par une équipe étudiante motivée. Cette année par exemple, plusieurs projets ont germé, en (...)

ATELIER SON : Informations et réservations

L’Atelier Son est ouvert à tous·tes les étudiant·es et professeur·es désireux de s’initier à la pratique des outils de design sonore, mais aussi de captation et de traitement sonores. Dans un esprit de découverte, de recherche et d’expérimentation, l’Atelier Son offre un espace où chacun·e peut explorer les différents aspects de la matière sonore. Il est possible d’emprunter du matériel dans le cadre de travaux réalisés au sein de l’école et d’avoir accès et des créneaux avec un (...)

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